En art, le nu désigne la représentation du corps humain nu. Le terme « nu », en tant que thème artistique, appartient au vocabulaire des Beaux-Arts depuis le XVIIe siècle. À travers l'histoire il fut le miroir des implications psychologiques, philosophiques et esthétiques du corps dans des sociétés données; cet exercice constamment renouvelé est une tentative qui, par une voie sensible, définit l'être humain, souvent dans son acception « naturelle ».
Plutôt que le sujet représenté lui-même, c'est une forme d’art qui essaie de recréer une image du corps humain, tout en respectant les exigences esthétiques et morales de l'époque, à travers la peinture, la sculpture ou maintenant la photographie. Depuis la préhistoire, la représentation de corps nus est un des thèmes majeurs de l'art. (Wikipédia)

lundi 14 février 2011

Max Boublil


«Je crois que mon coloc veut me serrer» chante l'humoriste. C'est cliché ? ou mignonnet ?

A noter que le coloc du clip est interprété par Alban Lenoir, déjà vu notamment dans Kaamelott. (Têtu) 

Sean Avery

«Si un jeune hockeyeur a peur de faire son coming out, j'arrive !»
Sean Avery, une des vedettes de la ligue nord-américaine de hockey sur glace, est prêt à aider un jeune joueur qui aurait peur de parler de sa sexualité à ses coéquipiers. Il indique la marche à suivre dans une interview à la presse.

Sean Avery est une star de l'une des disciplines les plus viriles qui soit et pas spécialement réputée gay-friendly, le hockey sur glace (NHL). Pourtant, l'ailier gauche des New York Rangers, homme à femmes patenté mais également connu dans les patinoires pour ses positions libérales, vient de lancer dans le Toronto Sun un appel des plus sympathiques. En gros, explique-t-il, si un jeune hockeyeur gay a la trouille de faire son coming-out à ses coéquipiers, qu'il décroche donc son téléphone !

Effeuillé pour Marc Jacobs.

«S'il existe un gamin au Canada ou où que ce soit, qui joue, qui adore ça, qui a envie de continuer mais qui a peur de faire son coming-out, alors je lui dis de décrocher son téléphone pour appeler Donald Fehr (le directeur exécutif de la ligue de hockey) et lui dire de me réserver un billet d'avion» a déclaré le hockeyeur. Car Sean Avery est prêt à se rendre dans les vestiaires avec le jeune gay terrorisé par les éventuelles réactions de ses camarades. «Je me tiendrai à ses côtés pendant qu'il dira à ses coéquipiers qu'il est gay, a poursuivi le joueur des New York Rangers. Peut-être que si Sean Avery est là, cela leur posera moins de problèmes.»

Sean Avery, qui le mois dernier s'était effeuillé à l'initiative de Marc Jacobs afin d'attirer l'attention sur le cancer de la peau, a par ailleurs ajouté qu'il ne voyait aucun problème à la présence de sportifs professionnels ouvertement homosexuels. «Il existe probablement quelques joueurs de NHL gays, a-t-il conclu, mais je ne sais pas si l'un d'eux aura le courage» de sortir du placard. (Têtu

Saint-Valentin

Pour la Saint-Valentin, un kiss-in sur le Pont des Arts et partout en France.

Les amoureux parisiens sont invités lundi à s'embrasser sur cette romantique passerelle. Des rendez-vous sont aussi organisés dans plus de dix villes, à partir de ce samedi soir. Après les incidents qui ont eu lieu l'an passé, le co-fondateur de l'événement fait le point.

C'est désormais une tradition, les amoureux pourront se retrouver à la Saint-Valentin pour un kiss-in à Paris comme dans de nombreuses villes de province. L'an dernier, le rendez-vous initialement prévu devant Notre-Dame avait dû être déplacé à Saint-Michel. Une décision qui n'avait pas empêché des incidents avec plusieurs dizaines de catholiques intégristes. Cette année, c'est le Pont des Arts qui a été choisi par les organisateurs. Un lieu tout aussi symbolique, mais plus romantique que politique. TETU a rencontré Arthur Vauthier (en photo), co-fondateur des kiss-in contre l'homophobie et organisateur de celui de la capitale.

TÊTU : Il y a un an, le kiss-in de St-Valentin organisé à Paris à proximité de Notre-Dame a été marqué par des incidents. Cela ne vous a pas découragé cette année ?

Arthur Vauthier : Non! Ça nous a tout de même incité à clarifier le message, s'il ne l'était pas suffisamment, autour du choix du 14 février et de notre volonté de le faire sur le parvis de Notre-Dame. Il y a eu un faux malentendu utilisé par les catholiques intégristes. Nous ne sommes pas dans cette démarche d'affrontement, c'est très pacifique. Cette année, on a donc pris la décision de fixer le rendez-vous sur le pont des Arts. Il y aura des touristes, des amoureux et ils verront un instant des couples homos et hétéros s'embrasser dans un lieu symbolique.

Vous craigniez un nouvel incident ?

Je ne pense pas. Comme à chaque fois, on demande à chacun de venir sans slogan, sans banderoles ni déguisements. De venir comme tous les jours avec simplicité pour montrer le vrai visage de l'homosexualité. L'image d'un baiser échangé en pleine rue entre deux personnes de même sexe a déjà une signification politique forte. Mais nous n'avons pas besoin d'être en guerre contre telle ou telle personne.

On a d'ailleurs appris qu'il n'y aurait pas de poursuites contre les personnes interpellées l'an dernier...

Oui, on s'y attendait un peu. Mais ce qui me dérange le plus, c'est qu'il n'y ait pas eu beaucoup de prises de parole de la part d'autorités politiques ou religieuses. Au moins pour rappeler que ce qui s'est passé est assez grave. Un tel rassemblement de haine contre des baisers, c'est quand même dramatique ! Mais cela montre aussi qu'il existe une homophobie latente. Même à la préfecture de police, sans être homophobes, ils ont un discours ambigu. Quand on nous conseille d'annuler le kiss-in parce qu'il peut être perçu comme une provocation, c'est se moquer du monde ! C'est la même chose pour l'absence de poursuites devant les tribunaux.

Un objectif pour cette année ?

Il y a eu beaucoup de monde l'an dernier. C'était un record. Cette année beaucoup ont déjà annoncé qu'ils participeront, notamment sur Facebook. Il y aura aussi toute une série de kiss-in en province. C'est un mouvement ouvert à tous les couples homos et aux hétéros. C'est important qu'ils soient là aussi. Un mouvement sans slogan, ni banderole. Le seul message qui passe, c'est le baiser.

Kiss-in contre l'homophobie, à Paris le 14 février à 20h sur le Pont des Arts. D'autres sont prévus dans plus d'une douzaine de villes, du 12 au 19 février. Plus d'infos sur le blog ou sur la page Facebook de l'événement. (Têtu

James Blunt : vrai ou faux coming out ?

“J’ai aussi fait mon coming-out la semaine dernière, ce n’est pas un mensonge…  oui, c’était un mensonge, c’était un mensonge.
- tout le monde est gay de temps à autre et il n’y a rien de honteux là dedans, répond l’animatrice.
- à l’école, j’étais en internat, j’ai fréquenté des hommes pendant dix ans de ma vie, puis j’ai rejoint l’armée pour être aussi avec des hommes…
- c’est un mensonge ou c’est vrai?
- Ce n’était pas mon choix, j’ai laissé tombé le savon et c’est juste arrivé.”

C’est avec ce petit échange, sur un ton humoristique que James Blunt a semé le trouble. Dans une interview accordée à Chelsea Handler de E!online, le chanteur a joué avec ambiguïté sur sa sexualité. Alors humour ou veritable coming out ? James Blunt comme avant l’acteur James Franco entretiennent le doute sur leur sexualité. Serait ce une nouvelle mode chez les célébrités hétéros qui laissent planer le doute, pour montrer que cela n’a de tout façon pas d’importance ? (Actualités des Gays

Joseph Sayers

Joseph Sayers


Photos : BeautifulMag

Courtney Moore

Photographe : Nico Urquiza
Courtney Moore







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Dean Stockings

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Sandro & Maykson

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