En art, le nu désigne la représentation du corps humain nu. Le terme « nu », en tant que thème artistique, appartient au vocabulaire des Beaux-Arts depuis le XVIIe siècle. À travers l'histoire il fut le miroir des implications psychologiques, philosophiques et esthétiques du corps dans des sociétés données; cet exercice constamment renouvelé est une tentative qui, par une voie sensible, définit l'être humain, souvent dans son acception « naturelle ».
Plutôt que le sujet représenté lui-même, c'est une forme d’art qui essaie de recréer une image du corps humain, tout en respectant les exigences esthétiques et morales de l'époque, à travers la peinture, la sculpture ou maintenant la photographie. Depuis la préhistoire, la représentation de corps nus est un des thèmes majeurs de l'art. (Wikipédia)

mercredi 16 février 2011

Marlen Boro

Marlen Boro











Photos : BeautifulMag 

Rod Daily







Photos : We Love Nudes 

Sean Lamont

Sean Lamont, né le 15 janvier 1981 à Perth (Écosse), est un joueur de rugby à XV qui joue avec l'équipe d'Écosse et actuellement en club avec les Llanelli Scarlets. Il évolue au poste de trois-quarts aile (1.88 m pour 102 kg). En 2000, Sean Lamont rejoint les équipes de jeunes du club de Rotherham Titans. En 2001, il en est devenu le capitaine des moins de 21. Aux Jeux du Commonwealth de 2002, il représenta l'Écosse en rugby à VII. Lors de l'été 2003, il quitte les Rotherham Titans pour rejoindre Glasgow Rugby. Il a connu sa première cape internationale le 4 juin 2004 à l’occasion d’un match contre l'équipe des Samoa, pendant la tournée australe de l'équipe d'Écosse. Il dispute les deux matchs contre l'Australie puis il retrouve l'Australie le 6 novembre 2004 pour sa première sélection à Murrayfield: il inscrit un essai. Il a participé au Tournoi des six nations 2005 et il a été élu homme du match contre l'Italie. Lors de l'été 2005, il quitte Glasgow Rugby pour les Northampton Saints. Il y évolue jusqu'en 2009, il rejoint la franchise galloise des Llanelli Scarlets. Il est le frère aîné de Rory Lamont. Sean Lamont est aussi l'une des révélations d'un calendrier et apparaît dans les Dieux du stade. (Wikipédia








Photos : We Love Nudes

Felix Barca




Marcel Schlutt







Apollon

Apollon est le dieu grec du chant, de la musique et de la poésie. Il est également dieu des purifications et de la guérison, mais peut apporter la peste avec son arc ; enfin, c'est un des principaux dieux capables de divination, consulté, entre autres, à Delphes, où il rendait ses oracles par la Pythie. Il a aussi été honoré par les Romains, qui l'ont adopté très rapidement sans changer son nom. Dès le Ve siècle av. J.-C., ils l'adoptèrent pour ses pouvoirs guérisseurs et lui élevèrent des temples.

Il est également connu comme Phœbus ou Phébus, « le brillant ». Il est fréquemment représenté avec son arc et ses flèches, ou encore avec une lyre : on le qualifie alors de « citharède ». Il est également appelé « musagète », celui qui conduit les Muses. Le surnom de Loxias, « l'Oblique », lui est attribué à cause de l'ambiguïté de ses oracles.

Apollon devient au Moyen Âge puis à l'époque moderne un dieu solaire, patron de la musique et des arts. Au XIXe siècle, il symbolise la raison, la clarté et l'ordre, considérés comme caractéristiques de l'« esprit grec », par opposition à la démesure et à l'enthousiasme dionysiaques. Ainsi, on a pu écrire de lui qu'il est « le plus grec de tous les dieux» et qu'« aucun autre dieu n'a joué un rôle comparable dans le développement du mode de vie grec».






Sources  : Wikipédia 

Homophobie

Saint-Valentin : la lutte contre l'homophobie s'affiche dans les grandes écoles.

Cette année, pour promouvoir la tolérance, le Collectif des Associations Etudiantes LGBT d'Ile-de-France (Caélif) a choisi le slogan suivant: «Quand notre cœur fait boum!». Comme tous les ans, l'objectif de la campagne est de rappeler que l'homophobie est encore présente dans le milieu étudiant: «Nous profitons de la Saint-Valentin pour rappeler que nous sommes tous égaux face à l'amour. Aujourd'hui encore, les gays et lesbiennes font l'objet d'insultes et de moqueries», assure Antoine Saillenfest, le responsable de la campagne.

Depuis une dizaine de jours, les organisateurs distribuent leurs nombreuses affiches aux associations LGBT membres du collectif, qui se chargent de les coller dans les établissements d'enseignement supérieur. «Nous distribuons également des affiches à toutes les personnes qui se portent volontaires». Depuis une semaine, des affiches ont donc déjà été collées à Sciences-Po, à l'université Paris XIII et Paris XI, et dans d'autres grandes écoles (voir en bas de page).

Retours positifs

Pour créer les affiches, le collectif s'est inspiré du film Kaboom sorti en octobre dernier. Le slogan de la campagne fait lui-même référence au titre du film. A l'image de l'affiche flashy du long métrage, celles du collectif sont découpées en plusieurs photographies. Elles mettent en scène trois couples: gay, lesbien et hétérosexuel. «Nous avons également saturé les couleurs de façon à donner un aspect pop et rétro aux clichés. Nous ne voulions pas que les étudiants passent à côté de nos affiches sans les remarquer» précise Antoine Saillenfest. Depuis son lancement, les membres du collectif reçoivent des retours positifs: «les internautes trouvent la campagne assez jolie. Ils pensent que notre message est intéressant».

En partenariat avec SOS Homophobie, le Caélif a lancé une enquête sur les représentations de l'homosexualité en milieu étudiant au début de l'année 2010. Au total, plus de 4000 élèves ont accepté de répondre à un questionnaire. «Jamais une telle enquête n'avait été réalisée en France», assure Simon Lhériter, en charge de l'enquête au sein du collectif. Les résultats de l'étude devraient être publiés jeudi prochain. (Têtu

Voici la liste des établissement participant à cette campagne :

  * Sciences-Po
  * L'Ecole de Louvre
  * HEC
  * L'école des Ponts ParisTech
  * L'ECP: L'Ecole Centrale Paris
  * ESCP Europe Business School
  * L'Ecole Polytechnique
  * L'ISC Paris : l'Institut Supérieur du commerce de Paris
  * L'ENS Ulm : L'Ecole Normale Supérieur rue d'Ulm
  * Supélec : l'Ecole supérieur d'électricité
  * L'ESSEC, l'Ecole de Commerce
  * L'ENSTA ParisTech
  * L'ENS Cachan
  * Télécom Sud-Paris & Management
  * Université Technologique de Compiègne
  ù Université Paris Sud 11
  * Universités Paris 1 à 13

Kiss-in de Toulouse

Au Kiss-in de Toulouse : «Hétéros ou homos, on a tous droit à l'amour !»

De nombreux kiss-in étaient organisés hier pour la Saint-Valentin, à Paris mais aussi en régions, comme à Toulouse. Pour l'occasion, une soixantaine de personnes s'était réunie sur l'esplanade Compans-Cafarelli. 

Un peu timides les Toulousains! Regroupée hier à la tombée de la nuit sur l'esplanade Compans-Cafarelli, une soixantaine de personnes a répondu à l'appel de Flashmob Toulouse, organisateur d'un kiss-in en musique et fortement symbolique. Hétéros, lesbiennes ou gays, ils étaient présents main dans la main «pour lutter contre les discriminations, les clichés».

Militants associatifs ou simples amoureux, les kissers de la Saint-Valentin se sont enlacés dans une danse chaleureuse. Petite bise fugace ou bouche-à-bouche interminable, la bonne humeur était de mise et le dress-code respecté : une rose blanche pour celles et ceux qui recherchent un homme, rose pour séduire une fille et rouge pour les amoureux déjà en couple. (Têtu

Kiss-in Pérou

Pérou : un kiss-in violemment réprimé par la police.

Les amoureux de ce soir, qui participeront dans toute la France au kiss-in contre l'homophobie de la Saint-Valentin, vont avoir une raison de plus de s'embrasser: ils pourront afficher leur solidarité avec les homos péruviens. Le kiss-in de Lima, la capitale, devait avoir lieu samedi soir mais il a été fermement, même violemment, empêché par la police.

C'est Jordi, un militant homo, qui le raconte dans son «blog de Lima gay». «Quand les organisateurs du “Baiser contre l'homophobie” sont arrivés sur la place, ils l'ont trouvée fermée par un cordon policier. “C'est parce qu'il va y avoir une manifestation d'homosexuels”, s'est alors justifiée la police.» Il raconte également que la police les a empêchés de brandir des pancartes. «Ensuite ils nous ont dit – de façon contraire à la Constitution – que l'on n'avait pas le droit de se réunir.» Sur les marches de la cathédrale, quelques couples lesbiens et gays se sont embrassés, mais c'est au moment de faire une photo de groupe que la police serait partie à la charge.

Dans la vidéo, l'un des militants dit, alors que la police le pousse fermement: «Je suis séropositif. Je suis aussi gay. Ces messieurs violent mes droits. Ils me poussent. Tout le monde doit voir cela. C'est une atteinte aux droits de l'homme.»

Et lorsqu'un groupe d'étudiants LGBT, venus clâmer le mot d'ordre «Mêmes sentiments, mêmes droits!», les rejoint, crient «Non à l'homophobie!», il se produit un affrontement auquel la police réagit par davantage de violence, à coups de bâton, de gaz lacrymogène, frappant notamment une jeune étudiante au visage. (Têtu

Kiss-in

A Paris, kiss-in sur le Pont des Arts : «Il faut montrer que l'on existe !»
Hier, pour la Saint-Valentin, des gays et des lesbiennes ont investi le Pont des Arts à Paris pour le désormais traditionnel Kiss-in contre l'homophobie. Un rendez-vous amoureux, militant et surtout bon enfant. 

C'est presque devenu une tradition: pour la Saint-Valentin, des homos s'offrent une séance publique et collective de baisers militants. Cette année, le Kiss-in parisien s'est tenu sur le pont des Arts. Surplombant la Seine, avec vue sur le Louvre, la Tour Eiffel et l'Ile de la Cité, il se dresse comme un fief hétéro, où touristes et jeunes couples s'échangent roses et promesses dans un cadre romantique.

Carte postale

D'ailleurs, en ce 14 février, à quelques minutes du kiss-in, les bancs sont principalement occupés par des couples hétéros qui se dévorent des yeux. Les femmes ont des roses à la main et les hommes débouchent le champagne. Ici ou là, quelques couples homos profitent de la carte postale: deux hommes sont enlacés et boivent une coupe, deux femmes s'embrassent langoureusement, deux garçons prennent des photos du panorama et s'échangent quelques baisers.

Mais en moins d'un quart d'heure, les homos deviennent majoritaires et modifient le paysage, le rendez-vous du kiss-in attire des dizaines de personnes et, rapidement, le pont devient encombré. Si rien ne peut distraire des touristes face à la Tour Eiffel, d'autres passants parisiens se dévoilent vite. Face au rassemblement, un trentenaire, costard cravate et attaché case, souffle agacé aux deux amis qui l'accompagnent: «encore une manifestation d'homos, la preuve que Dieu n'existe pas...»

«C'est une façon agréable de se battre»

Mais autour de lui, l'ambiance est bon enfant. Les couples, en mode Saint-Valentin, s'embrassent tendrement. Ceux qui sont venus entre amis discutent, rigolent, se demandent qui ils vont pouvoir embrasser ou ce qu'ils vont faire après. Et à 20h, le coup de sifflet officiel retentit et lance les baisers de dizaines de couples. Selon l'énergie, leur étreinte s'épuise vite ou dure plus de cinq minutes, jusqu'au coup sifflet de clôture, qui soulève un tonnerre d'applaudissement.

Avant et après les sifflets, Marie et Julie, deux parisiennes d'une vingtaine d'années, se sont embrassées. Pour elles, la Saint-Valentin est simplement commerciale, le rendez-vous était avant tout militant: «c'est important de lutter contre l'homophobie, on y est tous confronté et c'est une façon agréable de se battre», expliquent-elles. Adrien et Hugues sont eux venus entre amis, la Saint-Valentin n'est pas leur préoccupation, mais ils ont échangé un bref baiser à 20h. «Il faut montrer que l'on existe et que l'on a le droit de s'embrasser dans la rue, sans être provocateur ni ostentatoire», estiment-ils.

Des touristes aussi

A quelques mètres d'eux, deux garçons d'une vingtaine d'années s'embrassent toujours, sans paraître concernés par les rituels du kiss-in. Espagnols, ils sont en vacances à Paris. Militants, après avoir appris l'existence du kiss-In dans un bar, ils ont décidé de venir «pour lutter où qu'ils soient». Surtout amoureux, ils restent sans cesse l'un contre l'autre, se prennent en photo devant la tour Eiffel, et repartent dans Paris, main dans la main. (Têtu

Valence fête l'Amour 2011


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